un futur ou il faut se battre ou mourir
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Un futur perdu... Un monde ravagé par la main de l'homme et par les radiations, un monde ou la nature a repris ses droits et ou les mutants sévissent...
 
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 Présentation du voyageur des âmes =3 DC cassy

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AuteurMessage
Sakkaku

Sakkaku


Messages : 9
Date d'inscription : 11/06/2016

Présentation du voyageur des âmes =3 DC cassy  Empty
MessageSujet: Présentation du voyageur des âmes =3 DC cassy    Présentation du voyageur des âmes =3 DC cassy  EmptySam 11 Juin - 22:32


     

     
1
Identité de Votre Pseudo

     
 
Nom :
//

     
Prénom :
Sakkaku

     
Age :
Sakkaku n’a pas d’age définit, depuis sa naissance il n’a cessé de mourir, de changer d’enveloppe plus ou moins jeune, il a lui-même oublié son age réel, mais son enveloppe du moment est un jeune homme de 21 ans.

     
Nationalité :
sa toute première enveloppe était japonaise, il a donc gardé ce qu’il pourrait appeler sa langue maternelle même si il en a appris beaucoup d’autres entre temps

     
Groupe:
Militaire

     
Date de naissance :
Il ne sait pas.

     
Pouvoir (1) :
Poweeeer :

     
 
Situation familiale :

      a-t-il déjà réellement eut une famille ? Une vraie ? Bien sur les gens qu’il a rencontré lors de ses « réincarnations » étaient la plupart du temps aimant, d’autres violents, d’autres déprimés mais il ne les connaissait pas vraiment. Il était simplement un usurpateur se faisant passer pour leur enfant, leur frère ou leur sœur. Alors qui est-il vraiment ? Il a le problème d’avoir que de vague souvenir de ses précédentes enveloppes pour laisser place aux nouveaux, alors il recherche d’où il vient.

   
Situation financière :

      ho et bien, en sachant que sa nouvelle enveloppe est celle d’un étudiant, il a jugé l’avoir bien choisit, il se retrouve avec des allocations et des aides sociales, il s’est donc engagé dans l’armée, gagnant un petit salaire de 1000 euros brut par mois. Il vit dans un petit appartement assez miteux non loin de la caserne, ayant ramené sa mère qui avait des problèmes de loyer.

   
Toi, derrière l'écran...

   
Puf :

    Pas mal me connaissent sous eby ou glaçou mais ici cassy... cassy la fonda xD

   
Code du Règlement :

    beu je l'ai fait, ça coute une amende ? xD

   
Autre :

    Rien ça faisait juste un bout de temps que je voulais faire ce perso, mais attention il est basé sur des musiques donc vous étonnez pas de retrouver des phrases et des descriptions de chansons dedans x)
   
2
Qui est-tu ?

     
CARACTÈRE - Le caractère de Sakkaku est aussi flou que son apparence, ce n’est pas qu’il n’a pas de sentiment, ou qu’il est insensible. Il ne sait plus qui il est réellement, c’est pareil pour son esprit corrompu. Il a tellement « voyagé » qu’il s’est perdu, rien ne lui appartient plus, il ne sait plus qui il est. Il aurait eu besoin d’un guide, de quelqu’un pour l’aider et lui tendre la main mais les personnes qu’il « connaissait » ne lui appartenaient pas non plus.


 Lorsqu’il possède il vole, tout, le corps, l’identité mais aussi le caractère pour se fondre dans la masse, pour faire douter le moins possible. Alors quand la personne riait, il doit rire, quand elle était sombre il doit l’être. Pourtant depuis à présent quelques temps, son cœur s’assombrit, il ne se retrouve plus. Qui suis-je vraiment ? Est la question qui revient sans cesse alors il continu, à mettre ce masque pour se faire passer pour gentil. Il parait qu’il est militaire. Alors il combattra. Il est un mutant pourtant, mais et alors ?


Il ne sait pas de quel côté il est vraiment, il est juste en quête de ce qui pourrait être sa vérité, peut-être pour trouver le repos, peut-être pour savoir d’où il vient, quitter enfin ces sentiments écrits comme sur un testament, légué à sa pauvre personne. Entre autre, certains pourrait le qualifier de gentil ; après tout il ne vole que les personnes qui ont un accident, ou qui sont tristes au point d’en mourir. Il leur donne un repos doux et serein. Son apparence sombre et froide en dit tout autre. Il ne se connait pas, il ne se connait plus. Il sourit pour faire plaisir à la « famille » il rigole pour amuser ses « amis » il se bat pour ce que l’autre avant lui croyait être bien.


 Mais lui ? Ou est il donc passé ? Ses pensées à lui ? Ses opinions à lui ? Son corps à lui ? Il renferme très loin toutes ces pensées au fond de « son » esprit et remet son masque. Menteur. Il ne sait plus depuis combien de temps il fait ça, mais il fait des efforts pour ne pas s’oublier. Aussi avec sa possession du moment il reste sympathique avec ses collègues, souriant avec sa famille, pourtant il se met souvent à l’écart et reste réservé. Il est ainsi observateur, calme et posé.


Il est également intelligent, résultat de ces nombreuses années d’expériences. Il n’a pas de personnalité bien définie, tentant donc de s’en fonder une, sans réel succès pour l’instant. Il reste donc souvent froid et placide en nombreuses situations, n’ayant ni vraiment de compassion ni vraiment de plaisir face aux autres. Il est comme son apparence, flou et masqué. (je précise qu’il est bisexuel, étant donné qu’il a possédé des hommes comme des femmes il aime les deux x) )
PHYSIQUE - Comme dit plus haut, Sakkaku n’a pas d’apparence précise, comme son corps n’est que superficiel. Il peut changer à tout moment, choisir quelqu’un de beau et remarqué ou quelqu’un de discret et banal. Qu’importe, la seule condition est que cette personne soit sur le point de mourir. Car dans le fond, il n’est pas méchant et préfère faire disparaitre la personne pendant que celle-ci se croit morte. Enfin bien sûr, dans des cas désespérés il peut prendre quelqu’un au hasard et lui voler son corps, envoyant l’esprit dans l’au-delà.


Enfin bref, il peut choisir d’être aussi bien une femme qu’un homme, qu’un enfant et un adulte. Il navigue en se posant de temps à autre, volant la vie des gens, qu’ils soient honnête ou non. Avait-il le choix ? Il ne pouvait pas réellement mourir après tout. C’était son courroux, son péché. Lorsqu’il possède le corps de quelqu’un, les yeux de celui-ci change de couleur pour prendre une teinte rouille, la nuance du sang.


Aussi, le corps qu’il a choisi pour une période indéfinie est celui d’un jeune militaire d’une vingtaine d’année, devant normalement mourir par une attaque d’une bande de mutants à l’extérieur. Celui-ci vit avec sa mère, son père étant mort il y a peu de temps. D’ailleurs la femme aura été surprise par le changement radical du style de son fils. En en effet, Sakkaku aime bien le style un peu sombre et dark qu’on les gothiques. A chaque nouvelle possession il prend des vêtements sombres, souvent des chemises, des jackets noirs, des piercings et boucles d’oreilles, s’habillant de rouge et de noir.


 Aussi ses yeux couleurs rouges sang n’étonnent plus personne, beaucoup pensant qu’ils sont à l’origine de lentilles ou coloration. Il fait donc à présent, pour un temps indéfini, 1m75, étant de taille moyenne, presque un peu petit pour son « age ». Il est plutôt mince et bien foutu, quelque peu musclé pour cause de son entrainement chez les militaires de la Cité. Malheureusement, comme malchance, chaque fois qu’il possède une enveloppe celle-ci s’affaiblit à mesure du temps, il est alors obligé de changer juste avant que celui-ci ne meurt.


Sa peau devint alors blanche comme la cire d’une bougie, ses yeux prennent une allure sombre, ses cils noirs cachant un regard froid. Ses cheveux aussi s’assombrissent progressivement, jusqu’à devenir totalement noir. Il prétexte alors des teintures pour que cela paraissent le moins douteux possible. « Sakkaku, l’illusion celui qui portait le masque » entendait il souffler dans son esprit. Un masque, exact, ce visage aux traits doux et fins prennent une allure froide et austère. Cette fois, son corps est plutôt beau et apprécié, il a une apparence plaisante, attirante, rendue plus sombre par son arrivée.


 Pourtant, chacun à beau lui jeter des coups d’yeux, méprisants, amusés, admiratifs, froids, il reste flou. Sa silhouette reste lointaine, brouillée d’une aura sombre, comme si il n’était déjà plus de ce monde. Sa peau blafarde est glacée, son souffle n’à plus la chaleur d’un être en pleine santé, son regard est couleur du sang. Tu es celui qui porte un masque. Mais quel est ton vrai visage ?
HISTOIRE -
Acte I dans une gare:
Dit, toi, oui toi, ou es tu ? Tu es perdu ? J’ouvris les yeux, un train fila juste en face de moi, à seulement quelques mètres me surprenant. Je recule d’un pas, puis deux, cillant.

-Veuillez ne pas franchir la ligne blanche pendant que le train noir passe.

Je déglutis, tournant avec une lenteur nerveuse ma tête et mon regard vers une chèvre noire qui me sifflait des mises en gardes en m’observant de ces deux petits yeux vides. Je frémis, le train continu d’avancer à une vitesse presque indiscernable, les rails grinçantes gondolant sous le passage des roues aux allures rouillées et anciennes. J’ai froid. Mais je n’ai pas peur. Alors je me place sur le quai, croisant les bras, tendu et figé. Pourquoi je n’ai pas peur ? Parce que mon esprit est vide. Totalement vide. Je ne ressens rien, je n’ai pas de souvenir, aucune image ne me vient en tête. Le train est arrêté, hésitant, je m’avance en frottant mes converses sales sur les dalles, tendant la main vers le bouton d’arrêt pour ouvrir une porte. Une voix rauque et ronronnante me fit baisser la tête, un chat noir, assit, la queue enroulée autour de ses pattes m’observe d’un œil amusé me soufflant

-Ou vas-tu donc ? Cet arrêt te mènera droit à la mort.

Je lève les yeux vers les portes avant de reculer, passant mes mains dans mon dos. Ha si je me souviens. D’une chose. J’attends quelqu’un, mais il ne s’arrête jamais ici. Une silhouette noire passe, un plateau à la main, je me sers, prenant un gobelet aux allures usées, agitant un liquide couleur rouille à l’intérieur, peut être à la prochaine station… Peut être. Après tout aucun train ne pouvait me ramener chez moi. Je lève un regard morne vers le ciel, il est rouge. Rouge sang. Toutes les maisons sont noires, l’herbe est fanée, le vent me siffle à l’oreille d’une voix perçante


-Et bien ? Plus aucune émotion. Ton cœur vomit cette soirée douloureuse.

Les chants des cigales semblaient gémir et pleurer dans cette soirée sans saison aux allures chaudes des enfers. Il n’y avait ni nuit ni jour ici, seul les fils électriques et les poteaux éclairait la ligne d’une lueur rougeâtre. Comme mes yeux. Comme mes cheveux. Comme mon cœur. Je me redressais, jetant mon gobelet à terre dans le silence, seul le grondement des trains de la gare se faisant entendre. Un autre train passe, je peste, les portes s’ouvrent, des silhouettes sombres et perdues descendent les unes après les autres sans jamais levé les yeux.


Des ombres. J’enfonce les mains dans mon pantalon donnant un violent coup de pied au panneau « ne pas entrer » Dans ce silence, encore une fois, je recherche mes émotions. Tout est flou, brouillé. C’est dans ce cercle infini étouffant, qu’il n’y a aucun terminus, aucun échappatoire, ni à droite, ni à gauche tandis que mon regard suit l’avancée de petites lumières rougeâtres qui grillent sur les chemins de fer au croisement « clic » « clac » Un corbeau croisse en se posant sur mon épaule, claquant du bec

-Tu ne peux pas retourner en arrière, choisit une autre destination.

Je levais les yeux vers le ciel, prenant une inspiration. Ça ne servait à rien de l’attendre alors ? Je me trouvais sans voix, avec tous ces mots s’étant dissipés avec le soleil irisé. Le train arrive. Clic clac. Les portes s’ouvrent dans un crissement, j’entre, les animaux me soufflant tous en cœur, avec une voix d’outre-tombe. Le train est en marche.
 
-Continu de marcher seul, tu ne mérites pas la mort.

Acte II flashback:


J’ouvre les yeux. Ha je me souviens. Une nouvelle vie. Je me trouve sur un lit d’hôpital, une femme que je ne connais pas est penchée sur moi, l’air inquiet, une nausée me prends, je lui jette un regard froid, faisant mine de dormir. Je fouille. Quoi ? Les souvenirs de la personne que j’ai pris.

-Tout est stable, elle s’en sortira avec une fracture du bras et quelques hématomes. Vous avez eu de la chance que le camion ait dérivé ! 

Un sanglot. La voix placide du docteur résonne à mes oreilles. Ho je suis une fille. On me prend la main, c’est chaud et doux… Je fouille. J’observe. Je vole. Les cigales chantent au dehors. Alors je continue, je suis une lycéenne, je m’appelle Yuuko, j’ai quelques amis, je suis amoureuse d’un garçon depuis le collège. Avec ce jour la… Ou j’allais me jeter sur une ligne de train à cause d’un coup dur, j’ai été trop lâche, il pleuvait, il m’a tendu son parapluie. J’ai eu un accident il y a quelques heures ou j’ai été percuté par un camion en voulant protéger un chat. Naïve.

Je pousse un soupir. La vie a donc repris son cours éternel, sa boucle infinie, avec moi qui revient toujours en arrière. Tout le monde m’a accueillit avec chaleur, alors je souriais pour Yuuko. Pour moi. Ses parents ont été étonnés de voir leur fille changer de style en si peu de temps, devenant plus sombre jour après jour. Le garçon continuait de venir me parler, il semblait s’intéresser à moi, moi je suivais les sentiments de l’autre. Je n’éprouvais rien. Pourtant au fur et à mesure qu’il me parlait je l’appréciais. Il était mignon, banal, il vivait avec son père, sa mère ayant quitté la maison. Un jour alors que nous allions dans un café pour discuter de choses banales.

-Tu as changé yuuko.

Il m’observait souriant et explosa de rire à ma tête. Il l’avait vu. Il avait remarqué que j’avais changé. Je ne suis pas Yuuko. Avais je envie de dire, comme une confidence. Son regard était sombre, pourtant il souriait. Je souris, inclinant la tête de côté, mes mèches teintées en rouges brillant dans le soir, les glaçons dans ma boisson tintant dans un son clair. Les jours passèrent, l’année défila, je suis allée plusieurs fois à l’hopital, mes yeux sont de plus en plus rouges, je cache mes cheveux d’encres derrière la teinture. Je ne tiendrais plus longtemps. Pourtant je continue, je vais voir Aedan tous les jours durant cet hiver, puis ce printemps.

-tu es pale.

Me dit-il un soir. Toi aussi. Avais je envie de répliquer alors qu’on s’approchait du batiment scientifique, cette grande tour immense aux allures guerrière de FBI. Je me suis adaptée. Donner c’est donner, reprendre c’est voler pas vrai ? Alors encore un peu… Juste encore un  peu… Il me prenait la main. Je tenais la sienne. Le bip de mon réveil sonna et je poussais un grognement en me relevant, il pleuvait averse et orage, c’était le début de l’été. Je tousse, je souffre, j’inspire avec difficulté, avalant mes médocs. Je vais devoir partir. Mais avant je devais voir Aedan. Encore une fois. Juste un encore un peu… Je prends mon parapluie et me dirige vers le lycée. Il n’y est pas, je cherche dans les couloirs, il est absent. Le cours continu, les leçons que je connais par cœur entrent et ressortent par mes oreilles. J’observe dehors l’orage s’éloigner. Hier.

-Tu sais, j’aimerais prendre le train et partir.

Je déglutis, je me sens mal, je me lève, plaque mes affaires et part en courant, manquant de déraper dans le couloir, trébuchant au dehors, une voiture klaxonne, une personne grogne tandis que je la bouscule. Désolé. Désolé. Désolé. J’arrive au chemin de fer, le soir rougeoie, les cigales chantent. Le ciel se noie dans le sang. Désolé de ne pas l’avoir vu plus tôt. Aedan est étendu derrière les barres de signalisation, se confondant avec le ciel. Des larmes coulent sur mes joues à flots, j’ai l’impression de l’entendre éclater de rire comme hier. Alors que des larmes roulaient sur ses joues pales. Je laisse mon esprit s’échapper, retournant à la gare des âmes. 

Retour au point de départ. La chèvre souffle sa mise en garde, le chat me prévint, le vent souffle. Le corbeau se pose sur mon épaule en inclinant la tête

-Ce n’était pas la bonne. Attend la prochaine station. Tu ne peux mourir. Trouve la réponse. 

J’entre dans les portes, un bip sonore se fit entendre, j’avance, sans hésitation. Répétant cette opération encore et encore et encore. J’ouvre les yeux. Je suis un militaire blessé dans une attaque de mutants, je vis seul avec ma mère, ma petite amie me harcèle depuis un long moment maintenant. Je suis à jamais coincé dans cette boucle éternelle que je revis encore et encore. Alors je cherche. D’où je viens. Peut-être obtiendrais je des réponses cette fois. Usurpateur. Nom de code de l’armée : Sakkaku.

     
(c) Reira de Libre Graph'


     
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